Sur un plateau de théâtre le temps se brouille et les siècles se font échos : deux représentations du Malade Imaginaire s’apprêtent à jouer, quatre siècles les séparent. En coulisses, des femmes, des actrices prises dans les filets tissés par l’œuvre et la vie de Molière, profitent d’instants volés à l’insaisissable mouvement de la vie pour se confier, rire, pleurer et tramer les lignes de créations nouvelles, avec le sentiment coriace que les fantômes du passé(ou de l’avenir) ne cessent de les accompagner…
La première partie de la résidence en juillet s’est concentrée sur la création lumière, l’adaptation construction / décor, les allers-retours texte / plateau accompagnée de répétitions publiques, d’actions culturelles d’écriture (en présence de l’autrice) et d’initiation lumière. Le deuxième partie en août s’est focalisée sur la finalisation de la création sonore. Des actions culturelles auront également lieu en amont et en aval des représentations prévues dans le lieu d’accueil de résidence.