La résidence questionne la figure de Jeanne d’Arc, personnage émancipateur aux multiples visages, et son influence sur le territoire vosgien, entre Nancy, Tranqueville et Domrémy. Par une récolte d’histoires auprès des habitant.es, l’artiste crée un masque qui serait «son» visage, mélange de tous ces récits et iconographies. Une façon de retrouver l’humaine derrière le personnage.
L’implication des habitant.es est essentielle à ce projet, en ce que leurs paroles récoltées contribueront directement à la recherche et réalisation des œuvres. De même avec les ateliers auprès des publics pénitenciers locaux, qui seront déterminants dans ma recherche sur l’identité, et qui permettront aussi d’élever le projet à une réelle dimension politique du soin.